Au sujet du premier discours de politique générale…
Le premier discours de Jean-Marc Ayrault fut un long fleuve soporifique, une logorrhée lubrifiante enrichie d’un vocabulaire socialo-littéraire qui rend toujours la vie plus belle et les méchants plus gentils…
Il ne veut pas d’austérité, il ne veut pas de rigueur. Qui en voudrait ? Il a bien tenté d’ouvrir sa caisse à outils mais elle était vide ! Un des mots d’ordre : ne surtout pas avouer l’échec du modèle de cette politique pro-européenne, ne surtout pas avouer à nos compatriotes qu’ils courent à la ruine. En dehors d’incantations, je n’y ai vu aucune solution. Il faut arrêté de mentir aux français, nous sommes dans une situation de dépendance, d’austérité !
Retrouvons notre souveraineté et portons un projet nouveau pour le peuple de France.
Tout à fait d’accord, le mur que nous allons prendre en plein tronche arrivera très vite…