[FRANCE 2] Gilbert Collard invité de Mots croisés « Dieudonné : le coup d’arrêt ? »

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2 réponses

  1. Une émission odieuse où la concurence victimaire fut Reine, où une fois de plus la France en son lieu fut niée pour la magnificience de l’identité venue d’ailleurs, chacun s’occupant de la mémoire liée à son origine tout en regrettant qu’il n’y ait pas de cohésion. Sachant que le Front National est le seul à proposer encore ce rassemblement et qu’il est combattu par les divers protagonistes avec acharnement, c’est un comble.
    En voyant cette désolation d’émission. Je crois que c’est devenu aux citoyens d’éduquer les politiciens et les gens de médias.
    Pour finir le manque de crédibilité des politiques vient surtout des scandales financiers dont ils sont bien les auteurs, de tous les culots, ce manque de foi, ils le refourguent aux électeurs. Ben voyons !
    Bien à vous maître.

  2. FAUCHIE N. dit :

    Cher Maître,

    Lors de vos deux passages télévisuels de « Mots Croisés » et de « BFM-TV » face à la ministre de la culture, je vous ai trouvé fortement guimauve, en peine d’arguments, voire même cautionnant la moralité à deux balles du système que vos combattez. Concernant l’affaire Dieudonné, on ne parle pas de ce que l’on ne voit pas. Aucun invité ne s’était déplacé pour regarder un spectacle mais tous, ont donné le ton réprobateur. Cette moraline dégoulinante, vous l’avez cautionné, cela me paraît fort contestable, surtout venant de votre part, défendant, par ailleurs, sur ce même principe, votre ami Jean Roucas. Que soit Jean Roucas, Dieudonné ou tartapion, la liberté d’expression n’est pas une valeur qui se négocie, elle demeure en nous, pleine et entière. La société liberticide dans laquelle nous tendons est grave. La déliquescence de nos valeurs tombent en lambeaux les unes après les autres jusqu’à ce qui n’en restera aucune. Ras le bol, des présupposés gens qui pensent à notre place sous couvert qu’ils possèdent un titre, une fonction gouvernementale-médiatique, une notoriété.
    Où va-t-on ?
    Si l’on veut une société monarchique où nous redeviendrions serfs ou bien plonger dans une dictature, il faut avoir le courage de l’affirmer: « vous, peuple de France, nous vous demandons de vous taire, nous vous retirons tout droit (de penser, de parler, de voter…) ». Moi, de cette société à la socialo gocho merdasse caviar, je ne l’envisage pas, je ne la soutiens pas. Alors, maître, soyez courageux, anti système dont vous vous réclamez et soyez à la hauteur des contre propos de vos adversaires sans participer à leur jeu ignoble, à leur manque d’envergure, à leur accusation gratuite (notamment du PS, de l’animateur Calvi ou de la journaleuse de BFM-TV).
    Que les gens se lèvent, soient fiers d’eux-mêmes, relèvent leur tête et disent « merde à ses socialopes qui nous nous gavent de leurs haines, de leur racisme matin midi et soir qui et nous amènent au suicide collectif ».
    Eh bien quenelle ou bras d’honneur, peu importe mais vive la liberté d’expression, quelle demeure longtemps.
    Bien à vous, Maître Collard.

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