Jean Goychman – Ils nous prennent vraiment pour des quiches…

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5 réponses

  1. Peiire Dupuis dit :

    Un texte intelligent…ça fait du bien. Manque une précision. L’investissement public , ce n’est pas développer du productif, mais soit développer des freins à la production et à la créativité géniale, soit du détournement légale de fonds publiques. Dans les 2 cas, haha, c’est le citoyen qui croit même avoir le pouvoir, qui se fait avoir.

  2. MIGLIACCIO Edmond dit :

    Puisse que se sont les riches qui profitent de la dette, que les riches paient. Pour que les riches paient, il faut les déloger du pouvoir . Le pouvoir entre les mains du peuple on confisque tous les biens des riches et comme a fait De Gaulle en 45 avec Renault puis on rembourse la dette comme on a remboursé le plan Marshall puis on sort de l’Euro pour faire le nouveau Franc comme Pinet (c’est pas Gattaz)et Jacques Rueff et la roue tourne les riches devenant les nouveaux pauvres ……. Je rêve.

  3. Je ne suis qu’un modeste retraité de la marine marchande, mais l’économie est devenue ma passion lorsque j’ai compris que dans notre monde rien n’est durable car tout est cycle. Cela fait des années que je fais des recherches, lis des livres spécialisés et orientés pour me construire une opinion autodidacte mais circonstanciée.
    Ce qu’il ressort de mes analyses, c’est que le moteur de l’économie libérale de la libre circulation des biens et des personnes, c’est la croissance. Sans cette croissance, le modèle libéral s’écroule.
    Or cette croissance de l’économie réelle, production échanges de richesses, s’écroule naturellement au bout d’un certain temps, celui qui est nécessaire pour que les marchés se saturent, deviennent matures ou rigides selon les vocabulaires fleuris qu’affectionnent les économistes patentés.
    Alors régulièrement il se produit des crises majeures. On parle de crises financières à tord. Ce sont des crises de croissance liées à la production de masse.
    La crise des subprimes de 2008 doit être comprise comme le fruit amer qui résulte d’une croissance économique entretenue artificiellement par des crédits à risques accordés à des personnes non solvables en créant artificiellement de nouveaux marchés. La titrisation de ces crédit à risque a été une tentative pour prolonger artificiellement une croissance elle-même artificielle. Bien-sûr, des maîtres de la spéculation se sont enrichis incroyablement au passage. Mais il faut comprendre ce levier finacier a surtout servi d’appât à destination des investisseurs gogos qui se sont ruinés. Parmi ces investisseurs on trouve des personnes privées mais aussi des institutions publiques, des banques.
    Ce qui est dégueulasse c’est qu’on a fait payer les contirbuables.
    Le système pour relancer l’économie est toujours le même depuis que le monde est monde: il s’agit mettre en circulation de la monnaie fraîche. en espérant que cette mise en circulation de la monnaie soit génératrice de nouvelle richesses. C’est ce qu’il se passe quand ces crédits servent à la création d’entreprises innovantes créant de nouvelles demandes.
    Sauf qu’après la période des « trente glorieuses » qui a suivi la deuxième guerre mondiale, du fait de la production de masse, l’économie mondiale s’est retrouvée en peine pour développer de nouveaux marchés générateurs d’emplois pérennes.
    Et dans ce cas comme toujours, quand l’économie ne marche plus, les humains se fontt la guerre.
    Les guerres des USA au Vietnam, en Corée et ailleurs avaient pour objet de maintenir artificiellement l’économie en faisant tourner les industries d’armement. De la même manière qu’Hitler a réussi l’extraordinaire essor de l’économie allemande en se constituant un stock de guerre.
    On comprend donc l’importance que joue la dépense publique dans la croissance économique. sauf que cette dépense ne permet pas de générer des richesses à long terme lorsqu’il est question d’armement.
    La FED a donc financé les guerres US en mettant sur le marché des sommes énormes de dollars. Si énormes qu’elles ne pouvaient plus être garanties par un étalon or. D’où la décision de Richard Nixon en 1971.
    Alors que les accords de Bretton Woods on été une tentative de régulation de l’emballement de la mise en circulation des devises nationales comme cela a été le cas juste avant la deuxième guerre mondiale, de façon à garantir les devises sur un étalon or international, ces accords n’ont pas résisté à cette inflation énorme de la mise en circulation des devises. du dollar entre autre.
    Le dollar est devenue une monnaie virtuelle, un assigant moderne.
    Il devient clair que si une croissance économique doit renaître, elle le devra une fois plus à la dépense publique, grâce à une politique de grands travaux. Mais quels grands travaux? de quel ordre?
    Aujourd’hui, l’économie des USA est soutenue par les dépenses militaires US de l’OTAN qui construit en masse des silos de missiles de protection contre l’ennemi déclaré russe. Mais cela peut durer combien de temps?
    Exactement de la même manière qu’Hitler a finalement été contraint de déclarer la guerre pour défendre l’économie allemande comme il le prévoyait dans son livre « Mein Kampf », les USA seront-ils contraints à déclarer la guerre à la Russie pour relancer son économie en sachant que le théâtre de cette guerre sera éloigné de son territoire?
    Il faut le craindre.

  4. renucci dit :

    cette analyse fait peur mais surtout indique que les politiques restent a la merci des banques centrales et autres et que les speculateurs sont a l’affut…………ce n’est pas la creation de papier monnaie qui declanchera la croissance mais sans doute l’inverse et les riches resteront plus riches et les pauvres continueront de s’appauvrir en esperant qu’un Hitler ou autre fou ne se revele dans les mois ou annees a venir

  5. delarue dit :

    oui Maitre,il faut que sa bouge on conte sur le FN.ok mercie

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