Jean Goychman – Réchauffement climatique : un mensonge planétaire pour un impôt mondial
Il y a une dizaine d’années, un de mes amis, enseignant chercheur à l’Ecole Centrale et physicien de son état, m’avait un peu étonné en me disant que Claude Allègre avait probablement raison de ne pas croire à la théorie du réchauffement climatique lié à l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère.
En 2009, ayant appris qu’un géophysicien français nommé Vincent Courtillot allait donner à Nantes une conférence sur ce sujet, j’ai décidé d’aller l’écouter.
Vincent Courtillot est un scientifique, et il est donc un peu comme Saint Thomas. Il ne croit que ce qu’il peut constater. Il a donc commencé par analyser la méthodologie utilisée par les tenants de la théorie du dioxyde de carbone1. Premier élément : comment ont-ils réussi à déterminer la température moyenne de la Terre depuis 1850 et qui s’est occupé de collecter les données ? Sa réponse est claire : toutes les données de mesure de température viennent d’un laboratoire anglais, le HAD (Hadley Research Center)
Comment a été établie la base des données moyennes ? Une grosse surprise nous attend : Si les données terrestres proviennent de stations météo et peuvent donc être validées, les données maritimes sont beaucoup plus « aléatoires ». Il n’y a eu pratiquement aucun relevé de température entre 1850 et 1900 et très peu jusqu’ en 1950. Rappelons que les océans recouvrent les 2/3 de la planète. En fait, ils avaient découpés les océans en carrés de 500 km de côté, et il suffisait d’un relevé de température de l’eau de ce carré à un moment donné, pour que cette température soit affectée à l’ensemble de la zone, quelquefois durant plusieurs années.
Plus curieux encore, lorsque Vincent Courtillot et son équipe ont demandé au HAD de leur fournir une copie de leurs enregistrements, celui-ci a refusé. Le conférencier met donc en cause la notion de « température globale » en se demandant si une telle température a réellement un sens physique, et en faisant observer qu’elle ne peut être une température au sens de la thermodynamique.
Or, tout le discours du réchauffement climatique est basé sur cette température globale qui est censée augmenter au fil du temps en fonction du tonnage du dioxyde de carbone résultant de l’activité humaine. Un peu gênant quand même.
Mais Vincent Courtillot ne s’arrête pas là. Il produit ensuite les relevés de température enregistrés au XXème siècle aux Etats-Unis et en Europe et compare les résultats à ceux publiés par le GIEC2 Encore un sujet d’étonnement : les courbes ne coïncident pas. D’après les services météo des USA, l’année la plus chaude enregistrée sur le territoire américain est 1930. Cela revient à dire que ce qu’on veut à tout prix démontrer, à savoir que la température moyenne augmente avec le temps, est faux. D’autant plus faux, d’ailleurs, que nous apprenons quelques minutes plus tard qu’en réalité, la température de la surface de la planète a plutôt tendance à baisser depuis 1998.
Je ne vais pas commenter jusqu’au bout cette conférence et ceux qui sont intéressés peuvent facilement se rendre sur le site : https://www.youtube.com/watch?v=uXeRbbM2AjY
Ce que nous pouvons en retirer, c’est que la théorie du réchauffement climatique dû à « l’effet de serre » du dioxyde carbone n’est pas d’une clarté aussi aveuglante que ce qui nous est répété « ad nauseam » par l’ensemble de la classe politique « bien-pensante » relayée par presque tous les médias. J’ai fait quelques recherches sur le sujet, pour savoir notamment quand cela avait commencé et j’ai découvert, non sans une certaine stupéfaction, que son origine pouvait se trouver dans le « rapport sur la montagne de fer3 » auquel Hongbing Song, auteur du livre « la guerre des monnaies » faisait allusion.
Sans rentrer dans les détails, ce rapport devait répondre à une question soulevée par la Maison Blanche peu de temps après l’épisode des fusées de Cuba et qui peut se résumer à : comment perpétuer les avantages d’un état de guerre lorsque la paix risque de menacer le monde ?
Une des réponses envisagées était basée sur la menace de la pollution de l’environnement. Je cite le passage du livre de Hongbing Song : « En redoublant d’efforts de propagande sur les méfaits de la pollution, on pourrait atteindre un effet psychologique aussi effroyable que la fin du monde après la guerre nucléaire » Alors, hasard ou pas, en septembre 1987, à Denver, dans le Colorado, se tint la 4ème réunion du « World Wilderness Congress » (Congrès Mondial de la Vie Sauvage). 2000 participants représentant une soixantaine de pays y assistaient. Environ 1500 d’entre eux furent assez surpris de recevoir un document intitulé : « Déclaration de Denver pour la préservation de la vie mondiale »qui préconisait la création de la « World Conservation Bank ». La différence par rapport aux trois premières réunions fut la présence de nombreux banquiers. Cette réunion fut dirigée par Edmond de Rothschild et David Rockefeller.
En 1991, la WCB prit le nom de GEF (Global Environment Facility) qui rappelait moins l’emprise du milieu financier sur l’institution.
Une fois la machine en place, il fallait lui donner « du grain à moudre » C’est à ce moment que le fameux « dioxyde de carbone » a fait son entrée en scène. (J’allais dire « sur le marché » mais n’anticipons pas)
Pourquoi le carbone ? A cause de l’effet de serre, nous disent les gens du GIEC. Or, il y a de nombreux autres gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone ne représente qu’environ le quart de cet effet contre près de la moitié pour la seule vapeur d’eau. L’explication vient probablement de la couleur noire du charbon, qui est plus « parlante » au niveau de la pollution.
Et puis, on ne touche pas (ou du moins pas encore) à l’eau. Et en particulier à l’eau douce. On apprend très vite en économie qu’il existe deux ressources gratuites et inaliénables : l’eau et l’air. Pour ma part, j’en ajouterais une troisième, qui est la monnaie, mais c’est un autre débat.
Enfin, la combustion des hydrocarbures utilisés comme carburant de tous les véhicules motorisés rejette dans l’atmosphère du dioxyde de carbone. Cette constatation n’était pas exempte d’arrière-pensée concernant les mouvements écologistes naissants, dont les rangs étaient surtout constitués par des anciens gauchistes ou communistes opposés par principe aux grandes multinationales pétrolières.
Ceci étant posé, il restait à trouver ou inventer une autorité afin d’asseoir sur des bases scientifiques incontestables cette théorie du réchauffement climatique dû au rejet du dioxyde de carbone. Ce rôle a été dévolu au GIEC, créé en octobre 1988, soit un an après la réunion de Denver. Ce groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a pour but officiel « d’évaluer les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique pour comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine »
Vous remarquerez qu’il n’est pas question de savoir si ce type de réchauffement existe ou non. Sa réalité est admise dès le départ. Que voilà une curieuse démarche. On proclame l’existence de ce risque avant même d’avoir mis élaboré une véritable théorie scientifique qui aurait, au moyen d’observations et de constatations irréfutables et démontrées, pu valider le résultat.
Car les arguments qui permettent de mettre en doute cette théorie ne manquent pas. Les travaux de Vincent Courtillot et de nombreux autres semblent suffisamment convaincants pour au moins soulever la question. Mais là n’est pas mon propos. Ce qui m’intéresse est de savoir quel est le but réellement poursuivi par ceux qui sont à l’origine de la démarche. Alors, je vous entends déjà dire « encore le complot ! » Peut-être.
La démarche, après tout, est loin d’être stupide. Travailler à la mise en œuvre de moyens de production d’énergie qui ne pollueraient pas notre planète est en soi parfaitement respectable.
Car cette pollution est incontestable. Qu’elle vienne du charbon, du pétrole ou du nucléaire, nier ce fait serait irresponsable. Chercher à domestiquer d’autres sources d’énergie ne peut être que profitable à la planète et ses occupants. Mais est-ce le seul objectif ?
Je ne le pense pas. J’ai le sentiment que tout ceci n’est que le paravent d’une démarche beaucoup plus « sournoise » qui consisterait à financiariser à terme des ressources qui sont vitales. Je veux parler de l’eau et de l’air. Car, si on y réfléchit, la seule retombée « palpable » (dans tous les sens du terme) c’est la taxe carbone. Son principe est de faire payer le pollueur à hauteur de sa contribution à la pollution. En quoi cela va-t-il réduire la pollution ? Nous payons une taxe carbone sur le carburant que nous mettons dans notre voiture depuis le 1er janvier de cette année. La pollution, qui est proportionnelle à notre consommation (d’après le calcul) a-t-elle diminuée ? Les compagnies aériennes qui payent cette taxe, et outre le fait qu’elle peut introduire une « distorsion de concurrence », ont-elles diminué la consommation de leurs appareils ? La réponse est non.
La taxe carbone est née lors du fameux « protocole de Kyoto » en 1997. Le but affiché était louable : inciter les entreprises à moins polluer. Jusque-là, tout va bien. Les choses commencent à se compliquer avec l’instauration des « quotas » vite appelés « droits à polluer ». Pour soi-disant rendre le procédé plus efficace, la bourse du carbone est créée en 2005. Qui dit bourse dit échange. Cela a donc permis aux entreprises qui polluaient moins de revendre une partie de leurs quotas à celles qui polluaient plus. On est loin du but initial.
Cette transition, pour ne pas dire cette dérive généralisée, d’actions entreprises dans le souci de préserver l’avenir en apparence mais qui, en définitive, se traduisent par des prélèvements supplémentaires dans la poche d’un public qui se trouve ainsi berné, devient insupportable.
Souvenez-vous de l’écotaxe. Sa mise en place bénéficiait essentiellement à ceux qui en avaient la gestion. Et en creusant un peu, on passait à Ecomouve, puis d’Ecomouve à Goldman Sachs4. Cette taxe devait rapporter à elle-seule 300 millions d’euros par an à ceux qui la percevait pour le compte du fisc. A ce stade, le terme d’arnaque mérite d’être prononcé… Et c’est chaque fois un scénario analogue, souvent dénoncé mais jamais remis en question. Peut-être serait-il temps de remettre tout à plat afin de repartir sur des bases saines.
La grande réunion prévue à Paris à la fin de l’année pourrait servir de cadre à cette opportunité, même si, aujourd’hui, un certain nombre de raisons peuvent laisser penser qu’il n’en sera rien et qu’au contraire, on continuera dans le mensonge d’une théorie fausse dont l’objet unique est d’enrichir le petit nombre de gens qui contrôlent la totalité du système et qui s’appuie sur les peurs du futur qu’il contribue à créer pour demander à chaque fois un peu plus.
Si nous continuons dans cette voie, le jour arrivera où nous devrons payer pour respirer l’air de notre planète.
1 La molécule de gaz carbonique ou dioxyde de carbone à la propriété de réémettre une partie du rayonnement infra-rouge qu’elle absorbe. Dans une serre en verre, le rayonnement émis par l’intérieur de la serre est partiellement réfléchi, ce qui fait que la serre garde une partie de la chaleur. En raison de cette propriété, le dioxyde de carbone est un gaz dit « à effet de serre ».De là à dire que ce gaz est la cause unique du réchauffement climatique, à l’exclusion de toutes les autres, il y a, a mon avis, un cap infranchissable.
2 Le GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Experts en Evolution du Climat) n’est pas un organisme réellement indépendant. Ces experts se sont faits les défenseurs de la théorie du réchauffement climatique ayant pour unique cause l’activité humaine à la surface de la planète
Pourtant, la source principale de l’énergie captée par la planète est de loin de Soleil, dont on pourrait croire le rôle largement prépondérant en ce qui concerne le climat de la planète. C’est d’ailleurs ce qui m’a rendu cette théorie suspecte au départ, ne comprenant pas comment un phénomène marginal pouvait avoir des effets prépondérants.
3 Ce rapport a été traduit en français par Jean Bloch Michel et publié par Calmann-Lévy sous le titre : « La paix indésirable ? » La guerre des monnaies est publiée par les éditions « le retour aux sources »
Et a été traduite en français par Haibing Liu et Lucien Cerise
4 Voir l’article : http://www.bastamag.net/Les-dessous-de-l-ecotaxe-quand
Jean Goychman
Toujours le même système le mensonge pour récolter ou imposer encore et encore
Les citoyens et donc confisquer encore une partie de leur pouvoir vers le servage
Du 21e siècle. Nous contrôler de plus en plus sous des prétextes les plus divers
Contrôler le net qui échappe au politique. Mentir et nous réduire le plus possible a rien
Jusqu a quand? Les peuples sont trop passifs et acceptants quand vont ils ouvrir les
Yeux mais pour cela il faudrait qu ils puissent lire qu ils ne soient pas pris dans l engrenage du quotidien pour sa survie et celle des siens ??!!
Une réflexion de vieux collégiens le » dioxyde de carbone » ou CO² de serait plus un gaz lourd ?
Il planerait sur no tête comme le couvercle d’une casserole ? Les lois de la physique aurait donc changer à l’insu de mon plein grès, et bien on arrête pas le progrès au ministère de l’éducation national enfin c’est peut être une erreur de traduction ayant appris a lire de droite à gauche on a tendance a s’égaré ne pensez vous pas Madame la Ministre ?
Ouf, me voilà soulagé de savoir que tout cela n’est qu’histoire de pognon et de taxation …. et que finalement, il n’y a pas de réchauffement climatique … c’est bien cela qu’il faut comprendre, hein ? C’est vrai qu’étant gosse, quand j’allais à la Toussaint fleurir les tombes avec mes parents, c’était une vraie hantise pour moi, car j’étais frigorifié. Cette année j’y suis allé en tee shirt. Et puis heureusement que tout cela n’est qu’un vaste complot, car vous imaginez sinon ? toujours plus d’êtres humains qui consomment toujours plus, polluent toujours plus, plus d’autos, plus de cheminées, plus de déchets, plus de pillage des matières premières …. alors si au travers de leurs comportements, les êtres humains étaient un peu responsable de cela, vous imaginez la catastrophe à terme ? alors c’est pour ça, je préfère savoir que je ne suis ni coupable ni responsable de quoi que ce soit et continuer à consommer et polluer sans avoir à me poser de questions ….
Personne ne met en doute le rechauffement de la planete, au moins jusqu’a la fin du siecle dernier, ni que la planète c’est toujours réchauffé et refroidit, au fil des siecles. Ce qui est douteux est que ce rechauffement du 20eme soit anthropique.
Quand la bêtise est humaine …
Elle s’appelle Vincent Courtillot …
Hello! Je vis au Québec. L’anecdote, l’hiver dernier, alors que partout sur la planète on brisait tous les record de chaleur, nous avons eu droit, nous, a une des plus froide et difficile saison, historiquement. Deux mois durant le mercure n’a grimpé des bas-fonds empilant les moins 20c et plus de moins encore! (un creux historique du courant jet) Cet année, c’est tout le contraire! Il a fait plus 17c la veille de Noel! Les écureuils sont obese a force de trouver pitance partout car il n’y a pas de neige et pas deux jours de gel de suite! Nous somme le 27 déc.. auj. et nous venons de voir la premiere neige de l’hiver tomber! Je suis persuadé que s’il y a réchauffement climatique, il faut impérativement regarder vers le soleil qui est le vrai facteur dominant tous les autres. Le co2 ne représente qu’un minime composant de l’atmosphere et il très juste que les courbes de pourcentage de ce gaz ne correspondent pas du tout au courbe des températures enregistrées. Conclusions? Tout cet émoi n’est qu’opération sous fausse bannières avec taxes a la clef pour le plus grand bonheur des parlementaire et des mieux nantis de ce monde, ya-rien-de-trop-beau. Profitons bien de cette chaleur, youppie et tralala pour nous, et dormons bien calmement tant qu’on nous laissera un lit. Le but ultime c’est bien de nous gorger de craintes et de prendre nos dernières possessions. Bonne Année a tous et toutes !!!
Bonjour Constant et autres :
Pour en finir avec la crétinerie ambiante qui frôle le Q.I de -50.
Voici un courrier interne :
Pour repondre a ta question sur les chercheurs anglophones qui semblent tous d’accord pour dire que le 5e rapport du GIEC d’octobre 2014 donne des niveaux de risques insuffisants pour le changement climatique, rechauffement, montee du niveau de la mer, secheresse et vents violents, voici une liste succincte de scientifiques que l’on peut consulter sur YouTube ou sur les TED et bien d’autres forums :
James HANSEN, ex-directeur du Goddard Center de la NASA, maintenant a Colombia University, New York ; il est connu pour avoir lance l’alerte en 1985 sur les concentrations de CO2 dans l’atmosphere ; il vient de publier l’article d’octobre 2015 dans Proceedings of the National Siences Academy des Etats-Unis avec une soixantaine d’autres chercheurs annoncant un risque probable de 9 a 10 metres a 2100, article mentionne par CF Boudouresque le 17 octobre. Cette estimation de risque est fondee sur une etude de la deglaciation penultieme pendant l’ere Eemienne il y a 130 a 135 000 ans.
Paul BECKWITH, climatologue a Ottawa University, Canada, qui annonce que le dereglement climatique est evident dans l’Arctique. Voir son documentaire « Pacific Ocean blow torch ». Il a estime une montee du niveau de la mer de 7 metres d’ici a 2075, estimation fondee sur les mesures de fonte des glaces terrestres pendant les dernieres 5 decennies: le rythme de fonte double tous les 7 ans et si ce rythme ne s’accelere pas on peut estimer la quantite d’eau qui sera ajoutee aux oceans.
Peter WADHAMS, physiciste des oceans, annoncait en 2013 que la disparition de la banquise arctique estivale prevue pour la fin du 21eme siecle est en fait sur le point de se produire en 2015 ou 2016 et que les reserves d’hydrate de methane des marges oceaniques arctiques sont en degel et emettent pres de 100 fois plus dans l’atmosphere qu’il y a 10 ans.
Richard ALLEY et David POLLARD, giaciologues a Pensylvanya State University, ont annonce en 2014 l’effondrement imminent des glaciers de l’Antarctique Ouest et ont explicite le mecanisme d’effondrement.
John ENGLANDER, ex-directeur de la Fondation Cousteau, oceanologue.
Bill McKIBBEN, ingenieur, fondateur et president de 350.org.
Guy McPherson, climatologue, Arizona University.
Voila pour commencer. Comme je te disais, le GIEC n’a pas pu prendre en compte les recentes annonces sur le methane de l’Arctique et sur les glaciers de l’Antarctique Ouest qui ont ete faite fin 2014 et en 2015, alors que les etudes utilisees par le GIEC remonte a mi-2013.
( J’ai aidé une association pour un projet de ville nouvelle comprenant la montée des eaux, et j’ai pu effectué un travail de recherche, il est toujours si facile au commun des mortels de se dé-responsabiliser … )