LES POMPES FUNÈBRES
On pourrait presque en rire s’il ne s’agissait, quand même, de l’avenir du Pays. L’Élysée, non loin de la désormais croquignolette rue du Cirque où se commettaient les acrobaties présidentielles, prend des enflures de bouffonnerie entre gredins.
Devant le spectacle désolant et désopilant que donne la scène élyséenne, on est pris par le rire, le découragement, la honte et la colère. La République exemplaire, que voulait notre scootériste, sombre dans le cirage. On est mal. On est ridicule. On est pris pour des cons. Après Cahuzac et sa parole d’honneur qui crève les yeux dans les yeux ; après les primes des pauvres 449 primés, membres des équipes ministérielles qui se sont réparti 12 millions d’euros à la barbe de l’austérité pour tous ; après la vertueuse verte Voynet, nommée inspectrice de l’I.G.A.S., comme on place une vieille copine recalée de la politique dans la sinécure socialiste pour compenser les fins de mois amputées de mandat ; après Harlem Désir, dont le prodige fut de s’inventer un pseudo de scène érotico-émouvant, qui, évacué du parti socialiste pour cause de nullité avérée, estampillée, se requinque au gouvernement, recasé au titre de bon à rien, sauf à l’Europe, où les bons à rien s’annulent ; après les péripéties de la première dernière dame, qui va bientôt crier coucou dans un livre ; après tout cela, on pensait avoir tout bu de la lie ! Non ! Dans son nid, couvant de son aile ses trente paires de pompes, Aquilino, l’aigle de Hollande, son conseiller, aussi un proche de Valls et de Montebourg, vient de transparaître dans un exercice d’opacité conflictuelle dont seuls les socialistes ont la recette fiscale.
Aquilino le Tartuffe, à mes yeux la pire espèce, la plus dégueulasse, pire que tous les brigands authentiques, déclarait dans la revue Esprit : « Les conflits d’intérêts n’ont pas été traités avec assez de rigueur. », « Il faudrait prévoir des sanctions. » Et il se fait prendre les doigts dans un pot pharmaceutique de confiture de conflit d’intérêts… Plus que sa faute, c’est le faux cul, le fourbe, l’hypocrite, le fallacieux donneur de leçon, l’artificieux professeur de morale de gauche, l’inspirateur de la taxe à 75 % qui m’exaspère par son imposture. On a trente paires de godasses pour lui botter le cul. Les siennes, en plus. Car le conseiller du président aime les pompes. Il utilisait les locaux de la présidence pour entreposer et faire cirer ses trente paires de chaussures d’une manière autoritaire, en plus, paraît-il… Aquilino, cireur d’élite met les socialistes dans le coaltar.
Noir c’est noir il n’y a plus d’espoir.
Gilbert Collard
Quel horreur à Alès. Que des achetés
La « Folie des Grandeurs » serait-elle de retour???
Sauf que Don Sallustre serait bien réel de nos jours (escortés par ses acolytes)…et là : JE NE rigole PLUS !!!
Merci Mr Collard de vos récits : qui mettent en valeurs les « conflicteurs d’intérets, de là-haut, qui nous dirigent ! Pov’ France :'(
faut pas jouer les socialos, quand on à plein de sous !
il y en marre de ces socialos , dehors !
le pire c’est qu’ils aient , encore des
partisans !!!
sont C… ou quoi?
bonjour / vu votre émission un grand bravo de votre franc parler clair et net ou la journaliste faisant semblant de pas comprendre la vérité dérange ? ce gouvernement de guignols de cireur a pompes magouille de magouille entre amis un bon coup de balai a ses vieille serpillières empoisonnante , dehors ? ha oui ses social os noir c’est noir nous sommes a sec ? monsieur Collard continuer et rester comme vous êtes naturel et authentique encore bravo .
Merci de vos commentaires sur ces pompes funèbres et la cohorte de pompistes de ce triste …Cire ????
Ah si vous pouviez faire de la même manière le panégérique de ce triste salopard de Jean Zay conchieur de notre emblème !national comme Louis Aragon et que l’inculte chose mollassonne qui est censée nous gouverner veut introduire au Panthéon grâce à son inculture fondamentale…
Il est de hommes qui ayant goûté à la sauce gouvernementale ne savent plus où sont les limites du raisonnable; les limites de la bienséance, les limites de la couardise. Ils se foutent totalement des gens qui les ont élus, ils ne savent plus que se servir, car le siège a une connotation fortement éjectable. Alors on se remplit les poches rapidement, le plus rapidement possible ! Il est des fois où je regretterais que la loi arabe ne soit pas appliquée « Coupez la main des voleurs » !!